Une polémique s’est élevée une fois de plus, relative aux causes de la canicule de cet été

Tardive cette année en France, alors que l’on l’attendait après le 14juillet, elle s’est fait attendre durant de longues semaines.
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Mais que faut-il entendre au juste par canicule ?
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Il n’existe pas de définition universelle, car elle répond, en fonction des zones géographiques a des valeurs différentes.
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On peut dire, que pour le nord de la France, la canicule correspond à des températures nocturnes qui ne descendent pas en dessous de 18 degrés et qui dépassent 30 degrés le jour, alors que dans le sud et dans le centre de la France, il faut compter avec quelques degrés supplémentaires.
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Dans l’est, et en particulier en Alsace, c’est le climat continental qui domine, plus rude que celui de l’Atlantique et différent du climat méditerranéen, avec des étés plus chauds et des hivers plus froids qu’ailleurs en France.
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Ainsi, en France, la canicule n’est pas la même partout, avec cependant des différences moindres qu’entre celles de l’Afrique et celles de la Scandinavie.
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Cependant, il existe une définition commune à toutes les canicules.


« Il y a canicule lorsque dans un zone donnée l’amplitude thermique entre le jour et la nuit s’affaiblit pendant au moins 3 nuits consécutives »
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Cette situation, mal ressentie par la population, découle du fait que la chaleur s’accumule plus vite le jour, qu’elle ne s’évacue la nuit, le tout est de relativiser en fonction de la zone géographique où le phénomène se produit.
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Toute canicule donne du blé à moudre aux météorologues et aux climatologues qui s’efforcent de répondre chaque fois à la même question, celle de la cause de la canicule, sans être d’accord entre eux.
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Pour les uns, il s’agit de la conjonction de deux phénomènes atmosphériques classiques qui n’ont rien à voir avec la montée des températures, alors que pour d’autres, c’est le réchauffement atmosphérique qui en indiscutablement est la cause.
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Les premiers peuvent s’appuyer sur le fait que les canicules ne sont pas des phénomènes récents, qu’elles étaient connues en Occident au Moyen Age, où on les attribuait à l’évolution des étoiles.
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Les autres admettent que si on prend l’évènement en lui-même, on ne peut pas l’attribuer à 100% au réchauffement climatique en sachant que de très forts phénomènes de chaleur ont eu lieu dans le passé, alors que le réchauffement climatique n’avait pas été constaté, ce qui, en fait, ne prouve rien.
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Cependant , pour eux, c’est la multiplication et la sévérité des vagues de chaleur que nous constatons un peu partout dans le Monde qui sont un signe de l’évolution du climat sur la planète , en répondant à la définition du phénomène de canicule.
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En somme, on ne sait (vous en avez lu 78%, il reste à lire 22%, de cet article.)

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