Les centrales au charbon sont responsables de la pollution au mercure des océans

Une étude internationale conduite par les Etats-Unis, la France et les Pays Bas, publiée ce mois-ci dans la revue Nature, montre que les concentrations de mercure dans les eaux de surface des océans, ont globalement triplées, mais à des degrés divers, du fait des rejets humains.

Il s’agit du mercure anthropique, qui représente les deux tiers des émissions, par opposition au mercure émis naturellement par l’activité volcanique terrestre et sous-marine.

En janvier 2013 à Genève, 130 pays ont signé une convention visant à réduire la pollution au mercure, métal toxique, qui s’accumule dans la chaine alimentaire et qui affecte le système nerveux et le développement des consommateurs.

L’objectif de cette convention est de limiter drastiquement les émissions de mercure, ce qui met en cause, une fois de plus les centrales thermiques de production d’électricité, (vous en avez lu 41%, il reste à lire 59%, de cet article.)

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