Attention aux comportements à risques sur autoroute

Nous entrons de plein pied dans la saison des grands départs, suivis des grands retours des vacanciers, plus ou moins familiarisés avec les règles de conduite sur autoroute.
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Il y a les règles usuelles à observer concernant l’état et la préparation du véhicule, mais aussi de celui qui le conduit, à respecter plus rigoureusement sur autoroute que sur des trajets effectués sur le réseau ordinaire, en tenant compte des conditions particulière de circulation sur les voies rapides, dont justement la vitesse.
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Un autre règle, pas toujours observée par le novice de la circulation sur des vois rapides, est de rouler sur la voie de droite, pour ne pas ralentir la circulation, si l’on roule moins vite que les autres usagers.
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Même le fait de rouler à la vitesse maximale autorisé n’est pas une raison de rester systématiquement sur la file du milieu et encore moins sur la file de gauche, si la file de droite est libre.
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Par ailleurs, il faut doubler, si nécessaire à bon escient, avec les précautions d’usage, même si l’on observe la gêne provoquée par le comportement inapproprié de certains professionnels de la route, sans doute en retard sur leur horaire.
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Un comportement timoré sur autoroute peut être aussi dangereux, qu’un comportement désinvolte d’un fou du volant.
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Enfin, venons au constat dressé par les sociétés d’autoroute réalisé avec le concours de CETE Normandie Centre, qui est un centre d’études techniques de l’Equipement, sur le comportement qualifié à risques de nombreux usager des autoroutes, dont les usagers habituels sont parfaitement au courant.
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Selon cette étude, et ce n’est une surprise pour personne, un conducteur sur trois ne respecte pas les limitations de vitesse et un sur quatre les distances de sécurité.


Pour ce qui est des clignotants, deux usagers sur trois les ignorent systématiquement ou les actionnent de temps en temps, comme par hasard.
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A se demander s’il s’agit d’une option qu’ils n’on pas jugé utile de prendre sur leur voiture, même si elle est qualifiée de « suréquipée » par le constructeur.
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Cette étude laisse sur la soif, car elle ne propose aucune solution et pour cause, permettant de mettre fin aux «incivilités » dangereuses des automobilistes sur autoroute et ailleurs.