La bataille autour des antennes-relais se poursuit

Pour répondre aux inquiétudes sur les antennes relais, le gouvernement a organisé en mai dernier un Grenelle des ondes réunissant experts, associations, élus et opérateur à l’issue duquel une expérimentation d’abaissement des seuils d’exposition a été décidée.
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Sans attendre les conclusions du comité de suivi prévu le mois prochain, les associations poursuivent leur combat en vue d’obtenir une réduction des deuils à 0,6 volt , contre 2 volts recommandée par une conférence citoyenne en juillet.
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A l’issu du Grenelle des ondes qu’elle présidait, la secrétaire d’Etat à l’Écologie , Chantal Jouanno, a précisé que « Personne n’a pu conclure qu’il y avait un risque ».
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Ajoutons que personne non plus, s’agissant d’une preuve négative, pourra prouver qu’il n’y a pas de risque.
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Les opérateurs restent de leur côté campé sur leur position en rappelant qu’il ne peut pas y avoir de téléphone mobile sans antennes relais.
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Pendant ce temps, la justice ne chôme pas et la tribunal de grande instance de Créteil, statuant en référé, a interdit, en application principe de précaution, l’installation d’une antenne-relais sur un immeuble de l’avenue d’Italie dans les XIII arrondissement de Paris.