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Le risque nucléaire est rappelé périodiquement à nos bons souvenirs Le risque nucléaire fait partie des risques majeurs créés par l’homme, pour produire l’énergie qui lui fait défaut.
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Il a été révélé au grand public par l’explosion de la centrale de Tchernobyl en Ukraine, qui en a freiné le développement et a conduit un certain nombre de pays à renoncer à l’énergie nucléaire, sauf à être contraint, faute d’autres solutions d’y revenir progressivement.
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On en reparle de temps en temps, c’est actuellement le fait de Greenpeace, une ONG particulière critique sur tout ce qui touche au nucléaire et qui organise des manifestations spectaculaires en France, à l’occasion de chaque transports de déchets radioactifs vitrifiés issus du traitement des combustibles usés dans l’usine Areva de La Hague.
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Il peut s’agir d’un navire en partance pour le Japon, alors que cette fois-ci, il s’agissait du transport par chemin de fer de 28 conteneurs.
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Ce convoi a été qualifié par Greenpeace de « convoi le plus radioactif au monde » et doit habituellement en raison des obstacles dressés sur son chemin, il a fait l’objet d’un accompagnement policier adapté, jusqu’à la frontière allemande, pays de destination, puis par la police allemande jusqu'à son lieu de destination.
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Les produits nucléaires sont des substances naturelles ou artificielles émettant, par suite de désintégration des noyaux de leurs atomes, des rayonnements sous forme de particules ou de rayonnements électromagnétiques qui, en cas d’accident majeur, comme celui qui s’est produit à Tchernobyl, risquent d’atteindre l’homme.
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A cet égard, les bombes atomiques expérimentales, lancées à Hiroshima et à Nagasaki en 1945, pour mettre un terme à un conflit meurtrier, ont été un avertissement, inscrit à jamais dans l’esprit des peuples.
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La sécurité des installations de production a fait des progrès considérables depuis Tchernobyl et les incidents qui s’y produisent touchent rarement le nucléaire en tant que tel, mais des unités périphériques qui présentent les mêmes risques, que ceux qui existent dans n’importe quel type d’industrie, hormis le contexte dans lequel elles se situent.
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L’Agence Internationale pour l’Energie Atomique, l’AIEA qui a son siège à Vienne en Autriche a mis en vigueur, pour mesurer la gravité d’un accident nucléaire, une échelle de gravité, dans le même esprit que l’échelle d’intensité des séismes, graduée de 1 à 7.
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L’AIEA a en charge l’organisation du contrôle des installations et enquête sur les incidents d’ordre nucléaire qui dépassent rarement le niveau 1.
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Celui-ci correspond à une simple anomalie de fonctionnement sans conséquences radioactive, alors que le niveau 2 englobe les incidents techniques qui affectent les dispositions de sûreté ou qui ont dépassé des normes d’irradiation annuelles pour un travailleur.
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Ensuite, on monte en gamme.
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L’accident le plus grave à redouter est celui de la destruction d’une centrale par un évènement externe à celle-ci.
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Pour ce qui est de la maîtrise du risque aérien, le survol des centrales nucléaires est interdit et des dispositions particulières de sécurité ont été prises depuis les attentats venus du ciel, contre les tours jumelles du Word Trade Center de New York.
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La sécurité des centrales repose sur le contrôle de l’espace aérien national et sur la mise en œuvre instantanée des forces d’intervention, ce qui a manifestement fait défaut dans le ciel newyorkais le 11 septembre 2001.
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La seconde menace qui pèse sur les centrales nucléaires vient des entretailles de la terre, celui des tremblements de terre.
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La meilleure parade consiste à cet égard d’éviter de construire des centrales dans des zones à risques sismiques et, dans le moindre doute, de réaliser des constructions antisismiques correspondantes.
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Le Japon, qui subit des secousses sismiques quasi quotidiennes, sur l’ensemble de son territoire, est actuellement obligé de revoir les normes de protection des centrales les plus exposées, qui se situent à la limite du niveau de protection, face aux magnitudes atteintes par de récents séismes.
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Il semble avoir échappé de peu, il y a quelques mois, à une catastrophe nucléaire.
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Comme les centrales nucléaires se situent généralement, pour l’alimentation de leurs circuits de refroidissement, le long de cours d’eau, il faut désormais intégrer le risque d’inondation, lié au dérèglement climatique.
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Un important bémol tient aux des risques qui pèsent sur l’approvisionnement en combustibles des centrales nucléaires, provenant de gisement d’uranium, non inépuisables et dont, pour certains, la pérennité de l’exploitation peut poser des problèmes politiques.
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C’est la raison pour laquelle, le nucléaire ne fait pas partie des sources d’énergies renouvelables, au sens que l’on lui donne habituellement.
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Il faut y ajouter le problème du traitement, du transporte et du stockage du combustible usé, qui n’a pas encore trouvé de solution acceptable par tous.
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Une étude synthétique 40 pages écrites par des professionnels de l'équipe de Rédaction du magazine RiskAssur-hebdo. De longue date la question ne se posait pas, les courtiers d'assurances percevaient une commission calculée sur la prime et versée par les compagnies d'assurances. Mais depuis, les assurés, les compagnies et les intermédiaires s'interrogent sur la forme que doit prendre la rémunération des courtiers d'assurances.
En 2010, quel est le point de vue de la profession ?
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