Il court, il court le virus

Le virus est un agent infectieux, à ne pas confondre avec une bactérie, contre laquelle il existe, depuis la découverte de la pénicilline, toute une série d’antibiotiques, mais souvent mis en échec par des bactéries devenues résistantes, au fur et à mesure de leur mise sur le marché.
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Les maladies infectieuses virales sont évitables grâce à une politique de vaccination obligatoire, voire fortement recommandée, comme c’est le cas de la grippe saisonnière et, demain, de la nouvelle grippe A H1N1.
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Cependant, l’immunité n’est jamais acquise à 100 %.
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Une fois installé, les infections virales sont difficiles à combattre, sauf à utiliser des antiviraux puissants, que les médecins hésitent à prescrire, sauf dans les cas les plus graves, tel que le Tamiflou contre la grippe A H1N1.
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C’est dans les piscines que l’on risque le plus d’être infectées par une série de virus, que l’on peut désigne par « virus de loisirs hydriques », bien plus fréquents que dans les baignades naturelles.
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Ils sont surtout responsables de gastro-entérites, de conjonctivites et d’infections respiratoires, même dans les pays à forte hygiène, mais également d’autres infections plus graves ne sont pas exclure .
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Pour ce qui est de l’hygiène, un test réalisé par l’Institut Pasteur de Lille, à la demande de la Chambre syndicale nationale de l’eau de Javel, a révélé que l’eau de Javel permet d’ éliminer le virus de la grippe aviaire H5N1 ainsi que les autres virus grippaux, en l’occurrence le H1N1,dont on n’a pas fini de parler.
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C’est, pour la chambre syndicale, l’occasion de rappeler que son produit de désinfection est le plus populaire en raison de ses propriétés d’hygiène préventive et qu’il intéresse plus que jamais le grand public mais aussi la communauté scientifique et les instances gouvernementales.
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L’eau de Javel du commerce, diluée environ 25 fois, s’impose dans les maisons et dans les collectivités pour désinfecter régulièrement toutes les surfaces, afin de limiter la propagation des virus et des bactéries.
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La Nase a fait confiance en son temps à l’eau de Javel, en choisissant ce produit pour désinfecter la cabine d’Apollo XI, afin d’éviter une contamination éventuelle par des germes lunaires inconnus.
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L’institut national de veille sanitaire, l’Invs lance justement en ce moment une enquête national, baptisée Sero-info 2009-2019, sur l’immunité de la population métropolitaine vis-à-vis de dix maladies infectieuses, dont cinq maladies évitables par la vaccination : rougeole, oreillons, rubéole, hépatite A et varicelle, de manière à identifier la population la moins protégée.
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Les résultats concernant les maladies pour lesquelles il n’existe pas de vaccin, la toxoplasmose, les infections à cytomégalovirus, les infections à herpes virus 1 et 2 et l’hépatite E devraient permettre d’améliorer la connaissance et la prévention pour certaines d’entre elles.
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L’Invs appelle à la participation des volontaires pour réunir 5 500 personnes de 6 à 49 ans et se verront communiquer les résultats à la fin de l’enquête.
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La Rédaction de RiskAssur