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L’importance croissante du nucléaire dans la production d’électricité Les premiers programmes nucléaire de production d’électricité ont débuté au milieu des années soixante aux Etats-Unis et quelques années plus tard en Europe, au moment où les craintes d’une raréfaction des énergies fossiles se sont manifestées.
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En réaction au premier choc pétrolier, dont le choc a été rude au plan économique la volonté des grandes puissances de réduire leur dépendance énergétique a justifié les investissements la recherche et le développement du nucléaire civil.
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La forte croissance du nucléaire a ensuite été ralentie par l’explosion de la centrale russe de Tchernobyl en Ukraine en 1986 et, auparavant, par l’incident gravissimes aux Etats-Unis, dans la centrale de Three Mile Island en 1979, qui bien que sans conséquences pour l’environnement et la population, y a marqué profondément les esprits.
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Après un net ralentissement, la production électronucléaire a repris sa croissance à partir de 1990, notamment grâce aux progrès réalisés sur la productivité des réacteurs.
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En partant de 6 réacteurs installé en 1965, avec une puissance de 45 gigawatts (Gwe), on a compté 392 réacteurs en service en 2008, représentant une puissance de 438 Gwe, qui se répartissent entre différents types d’installations, du fait de la dispersion de leur conception, cependant dont principalement des réacteurs à eau légère.
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En attendant la conception et la réalisation de centre de production compétitive dont rêve l’humanité, l’exploitation des énergies renouvelables, gratuites et inépuisable comme le soleil, le vent, les chutes d’eau et les marées, il faudra passer la cap avec les sources d’énergie actuelles, alors que les besoins ne cessent de croitre et que de nouveaux, comme l’alimentation des voitures électriques, se pointent à l’horizon.
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Dans cette conjoncture, que l’on le veuille ou non, l’énergie nucléaire reste indispensable pour un certain temps encore et que les protestations et actions des anti-nucléaires, en attendant que l’on pourra se passer du nucléaire, n’y changeront rien.
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Aujourd’hui, l’énergie nucléaire est une technologie incontournable pour atteindrai les objectifs de réduction des émissions de CO2 préconisés pat la communauté scientifique et validés par les instances publics.
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La production électronucléaire permet d’éviter l’émission de milliards de tonnes de CO2, tout en étant une source d’énergie compétitive insensible aux prix des combustibles fissiles, en augmentation constante, sans parler à leur exposition aux risques politiques.
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Le prix des énergies fossiles pèse sur le coût de l’électricité produite par les centrales thermiques, fonctionnant au fuel, au gaz et au charbon, sans compter le coût de la lutte contre la pollution, chiffrée au prix international des émissions de CO2 qu’il faudra bien, un jour finir sous une forme ou une autre, finir par payer.
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A contrario, la compétitivité de l’énergie nucléaire dépend très peu du prix de l’uranium et pas du tout de celui du CO2, par contre il faut y inclure les frais de traitement et de stockages des résidus ultimes, en attente de solutions.
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Il faut aussi provisionner les frais de démantèlement des réacteurs à mettre hors service, qui peuvent s’avérer aussi élevés que les dépenses engagées à l’occasion de la construction.
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Depuis plusieurs armées, on observe dans le monde une volonté claire de nombreux pays soit de construire de nouvelles centrales, comme aux Etats-Unis, au Royaume-Uni, en Finlande, en Suisse, en Inde et en Chine, mais aussi en France ou encore, de revenir sur des décisions déjà prise de mettre fin, à terme, à l’exploitation de centrales existantes.
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C’est depuis peu le cas de l’Allemagne qui exploite actuellement 17 centrales nucléaires dont l’arrêt était programmé, ce qui explique la réaction, plus musclée que d’habitude, des antinucléaires à l’arrivé du récent train de déchets, du retour de leur traitement en France, à l’usine Areva de la Hague.
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Les projets de développement du parc électronucléaires mondial sont en développement constant, avec plus de 300 installations nouvelles envisagées dans les années à venir, avec des technologies très différentes de celles du parc en service.
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La France y occupe une situation particulière du fait que sa production d’électricité actuelle repose à raison de 75% de nucléaire.
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Cependant, elle doit faire face, comme les autres pays, à l’augmentation de la demande intérieure, tout en cherchant à conquérir des parts de marché à l’exportation, grâce à la mise au point du réacteur de troisième génération d’Areva, qui s’avère plus difficile que prévu.
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Entre temps, les instances de sureté nucléaires nationales et internationales s’activent pour que l’ère du nucléaire, sans doute passagère, puisse se poursuivre, le temps nécessaire sans catastrophes.
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Une étude synthétique 40 pages écrites par des professionnels de l'équipe de Rédaction du magazine RiskAssur-hebdo. De longue date la question ne se posait pas, les courtiers d'assurances percevaient une commission calculée sur la prime et versée par les compagnies d'assurances. Mais depuis, les assurés, les compagnies et les intermédiaires s'interrogent sur la forme que doit prendre la rémunération des courtiers d'assurances.
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