Des recherches d’économies

Les lampadaires d’une rue d’une ville toulousaine sont équipés , à titre expérimental, certainement dans une voie peu fréquentée la nuit, de détecteurs de mouvement qui réagissent au passage d’un piéton pour doubler l’intensité de la lumière à son passage , ce qui permet à la fois de réduire le budget éclairage de la ville, de réduire les émissions de gaz à effet de serre, tout en limitant la pollution lumineuse, déplorée par les astrophysiciens.
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C’est certainement une voie à explorer par des industriels de l'éclairage publique, car aucune entreprise ne propose pour le moment ce type de matériel, qui a été conçu et réalisé dans les ateliers communaux, sans doute en prenant modèle sur les spots qui s’allument automatiquement dans les propriétés privées, au passage d’un habitant ou d’un visiteur.
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D’après l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie l’Ademe, l’éclairage public correspond en France à près de 50% du budget électricité des communes, en sachant par ailleurs que chaque kWh consommé représente 119 grammes de CO2 rejeté dans l’atmosphère.
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Dans l’immédiat, il s’agit de remplacer les lampes à vapeur de mercure par des lampes à sodium haute pression, moins énergivores que les premières, en attendant de concevoir de nouveaux équipements autonome en énergie, car l’éclairage a toujours été la fierté des villes, pensons à Paris Ville lumière, tout en assurant la sécurité de ses habitants.