Début le 25 novembre de la vaccination scolaire

Au moment où la grippe A H1N1 s’intensifie en le milieu scolaire avec un nombre croissant d’établissements fermés, des écoles maternelles aux lycées, avec une multiplication par cinq dans 16 académies maintenant, selon le ministère de l’Education nationale, il appartiendra aux parents de choisir s’ils souhaitent ou non faire vacciner leur enfant, en remplissant un bon de vaccination qui leur sera distribué.
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Pour l’Institut national de veille sanitaire, l’InVs, le virus ne semble pas encore décidé à reculer, la situation va se durcir car le pic de la pandémie n’a pas encore eu lieu, d’où l’importance, selon lui, de se soumettre à la vaccination, alors que, un récent sondage révèle que seul un Français sur cinq, soit 20% de la population adulte, déclare avoir l’intention de se faire vacciner.
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Alors que les médecins généralistes veulent participer à la vaccination en affirmant pouvoir obtenir l’accord de leurs patients, les pouvoirs publics, par la voix de Luc Chatel ont tenu à justifier le choix des centres de vaccination publics, afin d’optimiser l’utilisation des doses de vaccins disponibles en de flacons servant à plusieurs vaccinations successives , qui une fois ouverts ne se conservent pas plus de 24 heures.
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La ministre de la Santé, Roselyne Bachelot a fait savoir qu’elle examine la possibilité de faire intervenir des cabinets de généralistes dans le processus de vaccination, selon des modalités à trouver.